Pourquoi « Travailler au Futur »

5 février 2020

« Le premier des droits de l’homme c’est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail. » Jean Jaurès.

Lieu des rapports sociaux et économiques, lieu d’émancipation et d’aliénation, lieu de droit et d’inégalités, lieu de socialisation et d’exclusion, lieu d’autonomisation et de domination, lieu de transformation, de création et lieu de destruction, le travail constitue, dans la société, l’espace central dans la mesure où il est déterminant dans les rapports humains, les relations entre les peuples, entre les nations, entre l’humanité et la nature.

Le travail est le marqueur de chaque parcours individuel au sein du destin collectif.

Travailler au futur est une initiative globale comprenant une plateforme numérique coopérative; une revue trimestrielle; des cycles de colloques.

Il s’agit de mettre en commun des informations, des documents et des contributions expertes qui explorent et analysent le travail, sa place et son impact dans la société, son sens, ses évolutions, ses bouleversements…

Travailler au futur est ouvert aux acteurs économiques et sociaux pour qu’ils apportent et puisent des idées sur le travail qui change et qu’il faut transformer. Travailler au futur entend offrir à la réflexion des acteurs de la transformation l’ensemble des analyses et des propositions qui émanent du mouvement progressiste.

Y participent des experts, des intellectuels, des syndicalistes, des créateurs, des travailleurs, des entrepreneurs, des responsables politiques, associatifs et toute personne engagée pour une alternative de progrès social, environnemental, économique, sociétal.

La place et le sens du travail y seront analysés, documentés, mis en perspective.